Biographie
Et maintenant, quelque chose de complètement différent. Nous avons eu beaucoup de coups ici, nous avons eu du hipping et du hopping, nous avons survécu à Hoempapas, à Mötley Crüe et à des circle pits menaçants et nous avons ressuscité Cherry Moon. Il est temps de changer, car avec RICHARD HAWLEY, nous accueillons l'empereur, le roi et l'amiral incontesté du romantisme. En sommes-nous fiers ? Les Beatles ont-ils déjà enregistré un disque qui a eu du succès ? Hawley a connu une brève idylle avec Pulp, mais n'a commencé sa véritable conquête des cœurs internationaux que lorsqu'il a commencé à enregistrer des disques en solo, en 2001. Il en a composé huit depuis, qui sonnent l'un après l'autre comme des Best Of. Et avec Coles Corner, c'est un chef-d'œuvre intemporel qu'il a à son actif. Des tubes qui ne sont jamais devenus des tubes, à cause du flot ininterrompu d'Eurodance, de R&B ou de hard rock à canon allemand qui ont bloqué le chemin vers le succès commercial. Mais Hawley ne se laisse pas atteindre par quelque chose d'aussi banal qu'une cent cinquante-cinquième place dans les charts. Avant tout, sa musique semble intemporelle et nourrit la nostalgie d'une époque qui n'a peut-être jamais existé. Bien qu'il soit anglais, il ressemble davantage à un Walker Brother qu'à un Gallagher Brother. La musique est empreinte de drame et de beauté suprême, sa voix chaude oint comme un violoncelle au coin d'un feu crépitant. Une demi-heure de navigation dans la section Richard Hawley de Spotify devrait suffire à vous radicaliser à une vitesse fulgurante jusqu'à ce que vous soyez un fanatique convaincu de Richard Hawley. Richard vient jouer chez nous le mercredi 7 août. Les plus attentifs remarqueront que c'est le jour où Chris Isaak vient aussi, donc à partir de maintenant, le 7 août 2024 sera décrit dans les livres comme le jour des cœurs qui fondent.